Je fais remonter le fil. Tant que ça fait sens, pour moi, la longueur d'un chapitre n'a aucune incidence sur la lecture. Les chapitres réguliers ont un charme, puisqu'ils permettent une progression confortable (on connait la durée d'une "session de lecture"), et les irréguliers, imprévisib...

Pas d'accord. Le lectorat grand public ne change pas. C'est son accès au divertissement (plus étendu d'années en années) qui change. Plus le lectorat "grand public", apte à tout lire et tout voir au premier degré, s'étend, plus on a l'impression que les livres et les films sont tous lus e...

Tu me sembles répondre à demi à ta propre question... je te cite : Y-a-t-il un changement du lectorat qui ne comprend plus ? [...] En clair, il devient difficile de faire un roman ambigu sans que les gens ne le lisent au premier degré. Le fait de vouloir que le lecteur s'interroge face à ce qu'il li...

Concernant les parenthèses, je crois à cette règle ci :

Cettre règle est vraiment idiote. (C'est moi qui le dis.)
Cette règle n'est pas si stupide (selon moi).

Donc, il faudrait faire un distinguo entre parenthèse "phrase" et "non phrase".

Un petit 45 / 60, avec deux erreurs d'inattention bêtasses.

Je plussoie. Les native speakers sont plus conscients des idiosyncrasies narratives de leur pays.

Ca dépend des nouvelles ; certaines sortent de mon esprit en une après midi, rédaction comprise, mais parfois je mets plus de trois mois à en écrire une seule. L'irrégularité étant de mise... Lorsqu'il y a un AT qui me plait, j'essaie, je lance des idées sur un papier, et je vois ce qui mûrit le mie...