[A] Style or not style

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VyvyChibi

Re: Style or not style

Message par VyvyChibi »

Personnellement, j'ai une vision assez "pessimiste" de la notion de style. Je dirais que dans mon cas, le style est plutôt un résultat des limites de l’auteur.
L'exemple qui me vient à l'esprit : je suis une truffe en grammaire, alors j’évite certaines constructions que je ne maîtrise pas bien (Bescherelle n'est pas mon ami).
Et décrire un de mes personnages est pour moi une torture (En fait, je les imagine rarement physiquement), alors que j’ai plus de facilité à écrire ce à quoi ils pensent. D’où l’adoption du même genre de point de vue dans mes nouvelles (ça donne un résultat qui me plaît, pour un minimum d'investissement... la grosse flemme, quoi...)
Pour moi le style d'un auteur c'est tout simplement sa manière d'écrire, de raconter l'histoire qu'il veut faire partager.

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Celia
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Re: Style or not style

Message par Celia »

VyvyChibi a écrit : Pour moi le style d'un auteur c'est tout simplement sa manière d'écrire, de raconter l'histoire qu'il veut faire partager.
Pareil.
Je suis assez étonnée (mais pas tant que ça en fait) de la vision hyper pessimiste et presque cynique que certains ont du Style (ça me rappelle un peu la discussion sur la Littérature)
Non parce qu'on peut se faire son style en bossant, mais sans y penser dès qu'on met la plume sur le papier aussi. Perso le style je le vois ou je le travaille après avoir fait mon texte, rarement avant. Ce serait même plutôt une conséquence du travail d'écriture, et pas du tout un but.
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NB

Re: Style or not style

Message par NB »

Ça me fait penser à ce que dit Card en comparant au vin : "il faut que le vin ai du bouquet"
Ce à quoi, les profs et autres critiques disent à l'apprenti viticulteur "assurez-vous qu'il ai du bouquet !
— Comment je fais ?
— Je ne sais pas ! Mais c'est important !"

Pour le style, c'est pareil. "ayez du style ! Regardez le style d'untel ou untel !" etc. Facile à dire après coup.

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GabrielleTrompeLaMort
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Re: Style or not style

Message par GabrielleTrompeLaMort »

Celia a écrit :
VyvyChibi a écrit : Pour moi le style d'un auteur c'est tout simplement sa manière d'écrire, de raconter l'histoire qu'il veut faire partager.
Pareil.
Je suis assez étonnée (mais pas tant que ça en fait) de la vision hyper pessimiste et presque cynique que certains ont du Style (ça me rappelle un peu la discussion sur la Littérature)
Non parce qu'on peut se faire son style en bossant, mais sans y penser dès qu'on met la plume sur le papier aussi. Perso le style je le vois ou je le travaille après avoir fait mon texte, rarement avant. Ce serait même plutôt une conséquence du travail d'écriture, et pas du tout un but.
+1 pour l'inconscient, le fait que ce soit une conséquence et non un but en soi.
On peut comparer le style à notre personnalité : on la construit de manière inconsciente d'abord, on la fignole ensuite, quand on veut corriger nos défauts (je soigne ma tendance à être tête en l'air à l'extrême, par exemple ^^).
Mais si l'on compare les deux, peut-on aller jusqu'à dire que le style se base en partie sur la personnalité de l'auteur (ne dit-on pas qu'on "met de soi" dans un texte ?) ? Je ne sais pas trop, même si je penche plutôt pour le non.
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Beorn
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Re: Style or not style

Message par Beorn »

Celia a écrit :Je suis assez étonnée (mais pas tant que ça en fait) de la vision hyper pessimiste et presque cynique que certains ont du Style (ça me rappelle un peu la discussion sur la Littérature)
Pessimiste d'une certaine manière, Luàni le confesse (en fait, je trouve sa vision assez rigolote, bien qu'à mon sens, elle ne représente qu'un aspect de la chose), mais cynique, je ne vois vraiment pas ? A qui penses-tu exactement ? Ne pourrais-tu pas citer la phrase ou le post qui te donne cette impression ?
Celia a écrit :Perso le style je le vois ou je le travaille après avoir fait mon texte, rarement avant. Ce serait même plutôt une conséquence du travail d'écriture, et pas du tout un but.
Gaby a écrit :+1 pour l'inconscient, le fait que ce soit une conséquence et non un but en soi.
Moi, c'est cette vision que je trouve horriblement pessimiste ! ;)
Pour moi, le style, ça se choisit, ça se construit, ça s'enrichit et c'est une démarche (presque) totalement consciente.

Pour reprendre l'idée de Luàni, quand quelque chose me bloque (les dialogues, les scènes de sexe, le langage oral, le texte à la première personne, l'usage du présent etc.) j'en fais des nouvelles et je les travaille à fond jusqu'à ce que ça ne bloque plus.

Et si je lis dans un roman une idée stylistique qui me plaît, je suis excité comme un pou à l'idée de l'essayer à ma manière, pour développer ce que j'appelle "mon style" ou plutôt, "le style de mon texte".
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GabrielleTrompeLaMort
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Re: Style or not style

Message par GabrielleTrompeLaMort »

Je m'auto-corrige, alors : en partie inconsciente. :)

Il n'empêche que je crois vraiment que nous avons un style au départ, un style inconscient, qui est brouillon et reste difficile à exprimer. On le travaille par la suite, de manière consciente comme tu le soulignes, et c'est là qu'il se déploie.
Enfin, ça reste ma vision perso, hein...
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Boite en carton

Re: Style or not style

Message par Boite en carton »

Beorn a écrit :
Gaby a écrit :+1 pour l'inconscient, le fait que ce soit une conséquence et non un but en soi.
Moi, c'est cette vision que je trouve horriblement pessimiste ! ;)
Pour moi, le style, ça se choisit, ça se construit, ça s'enrichit et c'est une démarche (presque) totalement consciente.

Pour reprendre l'idée de Luàni, quand quelque chose me bloque (les dialogues, les scènes de sexe, le langage oral, le texte à la première personne, l'usage du présent etc.) j'en fais des nouvelles et je les travaille à fond jusqu'à ce que ça ne bloque plus.

Et si je lis dans un roman une idée stylistique qui me plaît, je suis excité comme un pou à l'idée de l'essayer à ma manière, pour développer ce que j'appelle "mon style" ou plutôt, "le style de mon texte".
Ah, marrant, moi je suis de l'avis de Gaby et Célia ici, mais je n'y vois pas de pessimisme.
Je pense que le style, c'est la personnalité écrite de l'écrivain, que ça peut se changer, que ça évolue naturellement, que ça ne se choisit pas même si ça peut sans doute se contrôler si on n'aime pas.
C'est l'intonnation de l'écrivain, son vocabulaire, son rythme et son phrasé, sa façon d'accélérer parfois, de chuchoter à d'autres moments.
C'est la version écrite de la petite voix qu'on a dans la tête et qui est si difficile à reconnaitre soi-même.

Bref, je peux assez bien interchanger "ce texte a du style" avec "de al personnalité".
Je me demande si je ne suis pas à coté de la plaque.
Oh zut, je suis trop fatigué ce soit pour réussir à exprimer ce que je veux. :zzz:

Arianne

Re: Style or not style

Message par Arianne »

Plutôt d'accord avec Gaby et Célia, mais je ne vois pas trop ce que ça a de pessimiste.
Parce qu'après tout, le style, bien qu'on le travaille pour l'améliorer, ça n'a pas à être quelque chose de toujours hyper travaillé, pensé à la virgule près. Je crois qu'à la base on a tous une façon d'écrire, une voix qui nous est propre; suffit ensuite d'en éliminer les défauts (cas personnel, certaines tournures de phrases qui à la relecture, sont issues directes du parler québécois et donc à jeter au panier) et de rendre le tout plus coulant.
Ça revient à ce que Plume disait dans le fond: c'est un peu la personnalité de l'écrivain.
En même temps, ça dépend du texte, du genre. Le pur exercice de style, ça n'a (presque) aucun intérêt pour moi. Ça peut être intéressant d'expérimenter, mais je ne déteste rien de plus que lorsqu'un texte "sent" l'exercice de style, le "regardez comme je sais bien écrire!" Ceci dit les textes trop brouillons (et il y en a qui sont publiés!!) me font tout autant décrocher, même quand l'histoire est passionnante: si le style ne coule pas, je vais avoir bien des difficultés à me rendre jusqu'au bout.
Il s'agit de trouver le juste milieu. Plus facile à dire qu'à faire, c'est vrai.

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Beorn
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Re: Style or not style

Message par Beorn »

Ariane a écrit :Parce qu'après tout, le style, bien qu'on le travaille pour l'améliorer, ça n'a pas à être quelque chose de toujours hyper travaillé, pensé à la virgule près.
Alors là, je distinguerai deux phases : quand on écrit, je suis d'accord, on se laisse largement emporter par sa plume (ce qui ne veut pas dire qu'on ne cherche pas le mot juste, mais c'est vrai qu'on se laisse emporter, et c'est une chose nécessaire pour que le texte livre toute son émotion).
Cependant quand on se relit, c'est tout à fait autre chose et on le voit très bien sur ce forum : la relecture et la correction, ça se fait vraiment mot par mot et virgule par virgule, c'est un travail acharné.
Ariane a écrit :Le pur exercice de style, ça n'a (presque) aucun intérêt pour moi.
Tout à fait d'accord sur ce point... en tant que lecteur. Je n'ai jamais pu finir "La disparition" de George Perec, par exemple. Aucun intérêt, ça me tombait des mains. Mais en tant qu'auteur, un exercice de style permet de s'entraîner pour les textes suivants, c'est utile.
C'est toujours ma conviction intime : pour faire un bon roman, avant toute chose, avant l'idée, les personnages, l'intrigue... il faut d'abord un bon romancier et cela se travaille sur le long terme (si cela intéresse quelqu'un, j'en parle ici et toutes mes excuses pour le ton malpoli de cette note)
Ariane a écrit :si le style ne coule pas, je vais avoir bien des difficultés à me rendre jusqu'au bout.
D'accord encore, mais la conclusion que j'en tire, c'est qu'il faut donc que le style coule. Et -sauf pour des gens très doués peut-être- le style ne coule pas tout seul : il faut de l'expérience, il faut avoir déjà affronté ses faiblesses, affûté ses points forts dans des textes précédents, bref, il faut avoir travaillé sa technique.
BeC a écrit :C'est la version écrite de la petite voix qu'on a dans la tête et qui est si difficile à reconnaitre soi-même.
Ah, la fameuse petite voix... ;)
Oui, on garde toujours la même petite voix au fond de nous-mêmes, je ne peux pas dire le contraire... Mais en écrire, c'est aussi l'art de lui donner mille façons de s'exprimer.
Gaby a écrit :Je m'auto-corrige, alors : en partie inconsciente.
Là, je ne peux plus rien dire. Oui, en partie inconsciente, c'est indéniable. :)
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Boite en carton

Re: Style or not style

Message par Boite en carton »

BeC a écrit :C'est la version écrite de la petite voix qu'on a dans la tête et qui est si difficile à reconnaitre soi-même.
Ah, la fameuse petite voix... ;)
Oui, on garde toujours la même petite voix, au fond de nous-mêmes, je ne peux pas dire le contraire... Mais en écrire, c'est aussi l'art de lui donner mille façons de s'exprimer.[/quote]

C'est peut-être savoir mettre en valeur sa petite voix, la rendre cajoleuse ou autoritaire selon ce que l'on veut exprimer tout en restant sa petite voix ? Bon, trop de métaphore tue les explications.
Disons que j'ai l'impression que travailler et retravailler mes textes influe jusqu'à ma façon de rédiger des articles scientifiques ou des rapports, influent même mes mails.
Je n'irai pas jusqu'à parler de style dans les mails, mais finalement certains grands auteurs ont vus leurs correspondances éditées et on les retrouve dans ces textes aussi.
(Je retravaille mes mails aussi ^^)

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Tristeplume
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Re: Style or not style

Message par Tristeplume »

Non parce qu'on peut se faire son style en bossant, mais sans y penser dès qu'on met la plume sur le papier aussi. Perso le style je le vois ou je le travaille après avoir fait mon texte, rarement avant. Ce serait même plutôt une conséquence du travail d'écriture, et pas du tout un but.
Pas vraiment d'accord. Le style se travaille autant avant qu'après. Avant de te mettre à écrire, tu choisis la tonalité, l'ambiance du texte, les sentiments que tu veux faire passer, l'effet sur le lecteur que tu veux produire, etc.
Et pour cela tu choisis avant quel style tu vas adopter : le point de vue, le niveau de langage, le champ lexical, etc.
Certes, c'est souvent inconscient et intuitif. A moins d'être un cador en figure stylistique, on se dit rarement "tiens, je vais utiliser telle ou telle figure de style", on ne formalise pas mais dans les faits, la recherche de style est bien là, en amont de l'écriture. Ce n'est pas parce qu'elle n'est pas formalisée qu'elle n'est pas présente.

Par exemple, j'écris un texte burlesque et je sais par avance que je vais utiliser tel ou tel effet de style pour tenter d'être drôle (youpi :wamp: ) et dont je suis bien incapable de dire le nom (bien qu'ils existent il me semble) :
- Utiliser des termes en contresens : Il lui fracassa délicatement la mâchoire.
- Utiliser des termes en contradiction avec le contexte : Tandis que le marchand ramassait ses dents éparpillées sur le comptoir, Malach s'éloigna tout en se félicitant de ses talents de négociateur.
- Détourner des expressions : Ce fut la cerise qui fit déborder le gâteau. ou Elle était telle une porcelaine dans un magasin d'éléphants. (ce fumier de Bénabar me l'a piquée dans son dernier album :wamp: )
- Utiliser des métaphores ou images : Il allait profiter de l’effet de surprise pour fondre sur sa proie tel un elfe sur un magasin de vêtements moulants. (Borg le Barbare ;) )

Dans mon texte Raoul et Lucette, j'ai décidé d'écrire les dialogues en vers. Pourquoi ? Je ne sais pas mais ça reste un choix de style.

Ce sont des évidences (tout le monde utilise des métaphores sans se dire avant "tiens, je vais utiliser des métaphores") mais ça reste quand même une reflexion, une recherche sur le style. Même rudimentaire, même intuitive.

Je ne suis donc pas vraiment d'accord pour dire que le style coule tout seul et qu'on ne peut rien y faire.
Comme l'a si bien dit Mael, je ne recherche pas un style mais j'essaye de donner du style à mes textes. Pour reprendre l'image de la voix, de la moduler en fonction de l'effet que je veux produire.
(J'enfonce des portes ouvertes, là, non ?)
— Malach, avez-vous entendu ça ? Je suis, je cite, "drôle, tourmenté, incompris".
— Je ne vois pas en quoi c'est flatteur.
— Mon cher, cela veut dire que je plais aux femmes !
— Décidemment, je ne les comprendrai jamais.

anonymedeux

Re: Style or not style

Message par anonymedeux »

On en revient toujours à la querelle des classiques (le style, ce sont des règles) et des romantiques (le style, c'est la personnalité d'un auteur).

Bref, rien de nouveau sous le cocotier :youpi:

A noter que je suis très classique et très anglo-saxon. Pour moi, écrire, c'est raconter un récit dans un cadre qui est celui de l'écriture avec ses règles (et quand on maîtrise les règles, on peut les tordre) et que l'important est l'histoire racontée.

Et en ce sens, l'exemple de Macada sur essayer de reconnaître un auteur est révélatrice. Le seul qu'elle a reconnu fut grâce aux obsessions dudit auteur ^^

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Tristeplume
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Re: Style or not style

Message par Tristeplume »

A noter que je suis très classique et très anglo-saxon. Pour moi, écrire, c'est raconter un récit dans un cadre qui est celui de l'écriture avec ses règles (et quand on maîtrise les règles, on peut les tordre) et que l'important est l'histoire racontée.
Je ne suis vraiment pas d'accord.
Autant j'attache une importance extrême à la qualité de l'histoire, autant la manière de la raconter me semble une base de réflexion indispensable. Et cette manière, c'est le style, que ce soit les règles que tu veux utiliser ou la facette de ta personnalité que tu veux y mettre (Il n'y a aucune querelle là-dedans).
— Malach, avez-vous entendu ça ? Je suis, je cite, "drôle, tourmenté, incompris".
— Je ne vois pas en quoi c'est flatteur.
— Mon cher, cela veut dire que je plais aux femmes !
— Décidemment, je ne les comprendrai jamais.

anonymedeux

Re: Style or not style

Message par anonymedeux »

En fait, le mot style est véritablement fourre-tout, je trouve :wamp: Car je suis d'accord avec toi sur ce que tu dis, Tristeplume.

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Tristeplume
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Re: Style or not style

Message par Tristeplume »

Daerel a écrit :En fait, le mot style est véritablement fourre-tout, je trouve :wamp: Car je suis d'accord avec toi sur ce que tu dis, Tristeplume.
C'est ce qui est marrant sur ce topic. Tout le monde donne un sens différent à ce terme et donc personne ne parle de la même chose tout en disant la même chose. :mrgreen:
— Malach, avez-vous entendu ça ? Je suis, je cite, "drôle, tourmenté, incompris".
— Je ne vois pas en quoi c'est flatteur.
— Mon cher, cela veut dire que je plais aux femmes !
— Décidemment, je ne les comprendrai jamais.

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