De la pudeur involontaire de l'auteur
Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Il a mis une photo de maison d'araignée. C'est de la "pudeur" volontaire (ou bien plutôt une évocation calculée pour faire encore plus frémir le lecteur du texte/observateur de la photo).
Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Ce fil est décidément passionnant ! J'ai adoré ton exemple, Béorn. Et Roanne, ce que tu dis sur le degré d'intimité qu'on a avec ses personnages me paraît très pertinent. Cela me fait voir mon "miroir" autrement. Par ailleurs, j'aime bien ce que dit Jean-Claude aussi, à la nuance près que la pudeur peut jouer non seulement à l'échelle de la scène, mais même à celle de l'histoire entière, avec des scènes qui manquent carrément (comme les conséquences des traumatismes, justement évoqués par plusieurs grenouilles).
*Mode exemple ultra-perso on*
En fait, mon but n'était pas de m'auto-analyser avec mon roman mais juste de me raconter une histoire qui me ferait vibrer. Mais comme le processus d'écrire cette trilogie s'étale sur plusieurs années, avec des coupures, et que je suis, par ailleurs, en psychanalyse, ce qui se passe quand j'écris répond (plus ou moins) à ce qui se passe sur le divan, et vice-versa. Du coup je suis obligée de regarder en face des aspects de mes caractérisations que j'ai "oubliés", en fait soigneusement évités (et c'est pas plus fun que le divan, j'avoue).*Mode exemple ultra-perso off*
*Mode exemple ultra-perso on*
En fait, mon but n'était pas de m'auto-analyser avec mon roman mais juste de me raconter une histoire qui me ferait vibrer. Mais comme le processus d'écrire cette trilogie s'étale sur plusieurs années, avec des coupures, et que je suis, par ailleurs, en psychanalyse, ce qui se passe quand j'écris répond (plus ou moins) à ce qui se passe sur le divan, et vice-versa. Du coup je suis obligée de regarder en face des aspects de mes caractérisations que j'ai "oubliés", en fait soigneusement évités (et c'est pas plus fun que le divan, j'avoue).*Mode exemple ultra-perso off*
- Tristeplume
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Dis l'autre qui parle dans son roman de masturbation sans même sourciller !Roanne a écrit :Par contre, contrairement à toi TP, je pense que je serais un peu plus pudique, voire carrément que je contournerais certains trucs si je n'en ai pas absolument l'utilité.
Cela-dit, comme déjà-dit, je n'ai aucun recul et il est bien possible que j'esquive inconsciemment certaines choses.
— Malach, avez-vous entendu ça ? Je suis, je cite, "drôle, tourmenté, incompris".
— Je ne vois pas en quoi c'est flatteur.
— Mon cher, cela veut dire que je plais aux femmes !
— Décidemment, je ne les comprendrai jamais.
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Les posts filent à une vitesse c'est dur d'avoir envie de répondre à une personne même si ça fait déjà 15 messages, mais en laisser d'autres... Oups !
Ceci dit quand ça va aussi loin que le film avec Monica Belluci dont j'ai perdu le nom... Mince où la scène de viol dure dans les 15mns je crois et qui a était insupportable à voir pour nombre de gens qui sont sortis des salles de ciné, est ce que là on redonne à sa juste valeur l'impact de cet acte ? Est-ce que ça devient voyeuriste et malsain ? Faut il en arriver là ? A l'époque ça m'avais laissé perplexe personnellement. Ce film pour moi est un bon exemple de l'histoire de pudeur, de mesure et d'impact qu'on peut atteindre et sur le jusqu'où on peut aller ?
Parfaitement d'accord ! Alors là il y a une banalisation monstrueuse je suis totalement d'accord ! A croire que ça passe en 5 mns et des fois ça n'apporte RIEN. Je pense à un film avec Angelina Jolie, ou on voit un groupe de gars en colère et une porte qui se ferme et on comprends bien ce qui va se passer. Mais alors à part une punition du personnage vaguement ? Aucun intérêt, aucun impact... A croire que c'est normal, peut-être que ça reflète une réalité quand on voit les statistiques et à part évoquer un viol pédophile ou un viol masculin là on va sortir un peu de tout ça, mais ça m'énerve de voir autant de viols émaillés, séries télés, films et livres sans voir vraiment l'intérêt de l'avoir mis cet élément la plupart du temps.Roanne a écrit :
Le viol n'est pas un acte anodin et je trouve que trop souvent, dans les romans, il sert juste de "ficelle" scénaristique (et cette banalisation me fait vraiment mal au coeur).
Si l'auteur laisse sa pudeur de côté, il doit s'interroger en toute franchise sur la façon dont son personnage doit vivre avec ça et les conséquences sur l'ensemble de son roman.
Ceci dit quand ça va aussi loin que le film avec Monica Belluci dont j'ai perdu le nom... Mince où la scène de viol dure dans les 15mns je crois et qui a était insupportable à voir pour nombre de gens qui sont sortis des salles de ciné, est ce que là on redonne à sa juste valeur l'impact de cet acte ? Est-ce que ça devient voyeuriste et malsain ? Faut il en arriver là ? A l'époque ça m'avais laissé perplexe personnellement. Ce film pour moi est un bon exemple de l'histoire de pudeur, de mesure et d'impact qu'on peut atteindre et sur le jusqu'où on peut aller ?
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J.Benameur
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Pareil (pour les raisons que tu donnes et tant que le roman se tient et est fait pour être ainsi).Tristeplume a écrit : Donc pour moi, suivant le roman, il n'y a pas forcément de soucis à avoir un héros qui massacre à tour de bras sans avoir le moindre problème de conscience ou qui se remet à gambader comme un lapin après avoir été piétiné par un troupeau de dindes en furie.
Je pense que le propre des pudeurs personnelles dont on parle ici sont justement, comme le disait Jean-Claude, de ne pas tout le temps porter sur les choses qui font classer les films par tranche d'âge (même si ça se peut aussi). C'est sans doute pour cette raison qu'elles peuvent être difficilement décelables par l'auteur seul et qu'elles sont involontaires (on remarque facilement s'il y a une scène de massacre ou pas dans un roman, mais déceler que ce qui manque c'est la description du lapin est un peu moins évident à trouver).Tristeplume a écrit :Dis l'autre qui parle dans son roman de masturbation sans même sourciller !Roanne a écrit :Par contre, contrairement à toi TP, je pense que je serais un peu plus pudique, voire carrément que je contournerais certains trucs si je n'en ai pas absolument l'utilité.
Cela-dit, comme déjà-dit, je n'ai aucun recul et il est bien possible que j'esquive inconsciemment certaines choses.
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Oui je suis complètement d'accord.pingu a écrit : Je pense que le propre des pudeurs personnelles dont on parle ici sont justement, comme le disait Jean-Claude, de ne pas tout le temps porter sur les choses qui font classer les films par tranche d'âge (même si ça se peut aussi). C'est sans doute pour cette raison qu'elles peuvent être difficilement décelables par l'auteur seul et qu'elles sont involontaires (on remarque facilement s'il y a une scène de massacre ou pas dans un roman, mais déceler que ce qui manque c'est la description du lapin est un peu moins évident à trouver).
D'ailleurs, quand un bêta me dit que mon héroïne principale n'agit pas et est aussi énergique qu'une amibe, le bêta n'y voit qu'un problème de construction du personnage et de son implication dans l'intrigue. Un problème technique.
Moi j'y vois autre chose. Et j'ai mis du temps non seulement à m'en rendre compte, mais aussi à me permettre de "corriger" cela. Pour tout dire je m'en suis rendue compte il y a quelques années, et n'en connais les raisons que depuis quelques mois. Moi, ça ne me va pas qu'un personnage agisse quand il lui arrive quelque chose de traumatisant. Parce que moi, à un moment donné traumatisant de ma vie, je n'ai rien pu faire (alors que j'aurai pu) Du coup le blocage était tellement important que je ne me rendais pas compte que je m'interdisais (et que j'interdisais à mes personnages) tout un tas de trucs pour des raisons inconscientes totalement bizarres.
Le fait de reconnaître cette pudeur, cette auto-censure ou ce blocage, appelez-le comme vous voulez, m'a permis de réfléchir en profondeur sur ce que je souhaitais écrire. Du coup je force mes héros à agir, mais je creuse longuement le thème de l'absence, de la disparition, de la passivité. Parce que c'est un thème passionnant et que ça permet de guérir un truc, en plus d'offrir des expériences littéraires finalement satisfaisantes.
Sachant que je suis la seule à savoir tout cela, et que ni le lecteur, ni même peut-être les bêtas, ne feront jamais le lien.
J'ai un peu l'impression d'avoir dévié
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Je trouve au contraire que ton exemple montre bien à quel point ces pudeurs peuvent influer sur un texte, et comment il est difficile de les déceler en tant que telles.
En fait, c'est un peu comme si l'auteur déteignait sur son texte, mais pas en jolis dessins réfléchis ni en subtiles nuances intuitives : en vilaines taches criardes et qui n'ont aucune signification (que peut-être un petit manque de maîtrise ou de savoir faire, tout comme la chemise délavée en rose mal uni montre (la traîtresse) qu'on avait oublié un slip rouge au fond du tambour).
En fait, c'est un peu comme si l'auteur déteignait sur son texte, mais pas en jolis dessins réfléchis ni en subtiles nuances intuitives : en vilaines taches criardes et qui n'ont aucune signification (que peut-être un petit manque de maîtrise ou de savoir faire, tout comme la chemise délavée en rose mal uni montre (la traîtresse) qu'on avait oublié un slip rouge au fond du tambour).
Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Sans me psychanalyser, je mets beaucoup de moi volontairement dans mon texte, car mon héroïne a vécu des choses qui me sont arrivées (après avoir écrit), des parallèles très proches, et je trouve que ça apporte vraiment quelque chose, une profondeur au personnage au niveau du passé et de son impact dans le présent (des années plus tard pourtant). Du coup, c'est aussi des choses que je montrerais pas facilement à mes proches.
Par contre, j'ai facilement constaté que la réalité se rapproche du cliché en littérature, donc il faut la manier avec précaution.
Par contre, j'ai facilement constaté que la réalité se rapproche du cliché en littérature, donc il faut la manier avec précaution.
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Mercipingu a écrit :Je trouve au contraire que ton exemple montre bien à quel point ces pudeurs peuvent influer sur un texte, et comment il est difficile de les déceler en tant que telles.
Il y a ça, c'est le côté malvenu du blocage.pingu a écrit :En fait, c'est un peu comme si l'auteur déteignait sur son texte, mais pas en jolis dessins réfléchis ni en subtiles nuances intuitives : en vilaines taches criardes et qui n'ont aucune signification (que peut-être un petit manque de maîtrise ou de savoir faire, tout comme la chemise délavée en rose mal uni montre (la traîtresse) qu'on avait oublié un slip rouge au fond du tambour).
Mais ensuite, comme on se retrouve finalement à être obsédé par ce thème (enfin moi je le suis en tout cas), on se dit que finalement la petite culotte rouge, elle est pas si mal, et que ce serait pas mal de mettre un peu de rouge dans toute sa garde-robe blanche.
Dépasser le problème technique pour atteindre quelque chose de merveilleux et hautement inspirant, dont Jean-Claude a très bien parlé précédemment
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
pour ces interventions très intéressantes, tout le monde. Je ne vois pas trop quoi rajouter.
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Je mets sous spoiler pour le cas où, parce que ça parle de sexualité...
Celia : je ne trouve pas que tu as dévié, bien au contraire, et bien moins que moi.
Ton exemple est au contraire criant de vérité et prouve par l'extrême à quel point notre vécu influence nos écrits.
Surtout que dans ton cas, il t'a poussé à appliquer une caractéristique à tes personnages que la plupart des lecteurs, surtout en SFFF, ne supportent pas. Du coup, j'imagine les retours douloureux que tu as sans doute expérimentés.
Spoiler:
montrer
Ton exemple est au contraire criant de vérité et prouve par l'extrême à quel point notre vécu influence nos écrits.
Surtout que dans ton cas, il t'a poussé à appliquer une caractéristique à tes personnages que la plupart des lecteurs, surtout en SFFF, ne supportent pas. Du coup, j'imagine les retours douloureux que tu as sans doute expérimentés.
Vous n'aimez pas Noël ? ça tombe bien, nous non plus ! Du coup, avec Chapardeuse, nous vous invitons sur Wattpad pour (re)découvrir le Noël cataclysmique de Claire et Chan.
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
"Ce que l'homme a de plus authentique c'est sa capacité à créer, se surpasser, endurer, transformer, aimer et dépasser ses souffrances"
C'est de Ben Okri, et je trouve que ça s'applique bien à ce fil
On écrit en transformant plus ou moins efficacement ce qu'on a vécu, si bien que parfois on se retrouve beaucoup dans ses histoires, et parfois moins
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Le lait ne venait pas parce que le petit (j'ai perdu son nom) le désirait ? C'est drôle, j'avais ça comme souvenir... (j'avais bien aimé comme tout le monde comprenait sauf Jehanne)Beorn a écrit :Oui, ça paraît incroyable mais c'est possible si on met le bébé au sein longtemps (voire trèèès longtemps si on n'a jamais eu d'enfant).tigrette a écrit :Beorn: Et pour ce qui est d'aller jusqu'au fond de son idée : comme on est en fantasy, la magie existe et Jéhanne se met à faire du lait (ce qui est essentiel pour que le bébé survive). Ecrire une scène où elle lui donne le sein était pour moi une manière d'aller au bout du raisonnement.
Ce n'est pas de la magie.
http://www.mamanpourlavie.com/allaiteme ... uche.thtml
Il faut donc que ce soit une démarche volontaire et active, ce qui n'était pas le cas de Jéhanne, dont le lait vient tout seul.
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
J'ajoute que c'est aussi possible chez l'homme (donc chez Jéhan ) en cas d'adénome à prolactine, l'écoulement mammaire s'appelle alors galactorrhée (même si je doute que ça suffise à nourrir un bébé, surtout à la croissance aussi rapide que le baba )Beorn a écrit :Oui, ça paraît incroyable mais c'est possible si on met le bébé au sein longtemps (voire trèèès longtemps si on n'a jamais eu d'enfant).tigrette a écrit :Beorn: Et pour ce qui est d'aller jusqu'au fond de son idée : comme on est en fantasy, la magie existe et Jéhanne se met à faire du lait (ce qui est essentiel pour que le bébé survive). Ecrire une scène où elle lui donne le sein était pour moi une manière d'aller au bout du raisonnement.
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Re: De la pudeur involontaire de l'auteur
Si, absolument, j'aimais l'idée que l'on devient vraiment parent parce que nos enfants le veulent.Swald a écrit :Le lait ne venait pas parce que le petit (j'ai perdu son nom) le désirait ? C'est drôle, j'avais ça comme souvenir...
Mais elle ne le comprend que plus tard.
Argh, voilà... Je savais que je n'étais pas encore allé jusqu'au bout de mon idée !Pandora a écrit :J'ajoute que c'est aussi possible chez l'homme (donc chez Jéhan ) en cas d'adénome à prolactine, l'écoulement mammaire s'appelle alors galactorrhée (même si je doute que ça suffise à nourrir un bébé, surtout à la croissance aussi rapide que le baba )
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