Est-ce que j'aime la romance en SFF ?
Ben... Ça dépend... En fait, romance ou non-romance, je lis de tout. Mais je n'aime que les histoires bien racontées, donc la romance a un sérieux intérêt à être importante pour l'histoire ET bien amenée. Ou au contraire, rester en arrière-plan, mais que ce soit bien clair dès le départ et cohérent.
Est-ce que j'ai de la romance dans mes histoires ?
Eh oui !!! Et j'aime bien en écrire en plus ! Ma fanfic' de
Tôkyô Babylon est une romance fantastique, comme le manga original d'ailleurs ; comme c'est fréquent en fanfic', je la fais se terminer "bien" (même si Seïshiro reste un tueur) alors que l'histoire d'origine finit en tragédie.
Mon projet de trilogie fantasy
L'Envol du Phénix comprend une... romance entre 2 des 3 persos principaux, pour ne pas les citer : Eydric et Hunviriene. On ne peut pas dire que ça commence comme un conte de fée, puisque la première scène du roman s'ouvre par une invitation d'Hunviriene à Eydric, pour la rejoindre au château d'Oria chez qui elle vit après avoir rompu il y a des années avec Eydric... Jalousie en perspective - infondée compte tenu des "particularités" d'Oria (c'est un homme, enfin... il est bloqué dans son corps de 14 ans... et possédé par un démon...
). Précisons que les 3 sont des Mages. Puis Eydric, qui commence à trouver Oria plutôt sympathique et voit bien la distance qui continue d'exister entre Hunviriene et lui, se fait manipuler par cette séductrice de Duchesse Mathilda, ce qui ne lui plaît pas du tout quand il s'en aperçoit ! Attention orage ! (il est Tempestaire) Quant à Hunviriene, c'est une Elvénide (mi-Elfe mi-humaine) donc partagée entre les 2 mondes et plus assoiffée de connaissance que d'amour... Mais elle finira par se rendre compte qu'elle a besoin d'une "ancre" - et quoi de mieux que l'amour d'Eydric, qui est revenu vers elle après sa déconvenue, et à qui autrefois elle ne fut pas indifférente ?
Guimauve quand tu nous tiens... Je prévois de faire pire avec l'histoire des parents d'Hunviriene, pour le coup une authentique idylle de conte de fées, avec méchant père de la jeune fille qui ne veut pas croire à l'existence du bel Elfe de nuit jusqu'à ce que ça devienne comme qui dirait un peu compliqué... (ahem) Voui j'assume mon côté
Et c'est pas fini ! J'en ai d'autres d'histoires d'amour en réserve, et des tragiques cette fois !
Celle du projet
La Cité-Chimère, entre deux charmants jeunes hommes : Typho Sereney, dit L'Oniromant, qui arrive à dos de griffon à Fioralma où il tombe désespérément amoureux de Melidoro Spinelli, Oniromage comme lui, et frère de Leoluca Spinelli, actuel Prince-Mage de Fioralma. Hélas, la politique et ses tragédies s'en mêlent... (L'ambiance est inspirée de la Renaissance italienne) La capacité qu'ont nos deux tourtereaux de se transporter en rêve dans une Cité idéale qui pourrait bien servir de modèle aux gouvernants terrestres suffira-t-elle à mettre en échec les forces du chaos historique ? De l'utopia ou de la realtà, laquelle est la plus forte ? Et quelle est la place de l'amour quand les enjeux collectifs sont essentiels ? (Question à laquelle Leoluca répondra à sa façon au soir de sa vie... idylle-malgré-le-tragique-de-l'existence en perspective... Ah, cet ange de douceur qu'est Delphina Devia... guimauve, guimauve...)
Quand à la trame de
Pour la Gloire d'Isis, le projet "Antiquité", c'est tout bonnement là aussi une double histoire d'amour !!! Celle de César et Cléopâtre, puisque j'en profite pour poser mon point de divergence entre mon univers uchronique et le nôtre : les Ides de Mars de l'an 710 Ab Urbe Condita (-44 av. JC), où César n'est pas mort ! Résultat, les vieilles magies sont toujours là, le culte d'Isis promu par Cléopâtre est beaucoup plus développé, et du coup le christianisme n'est pas né (notre St Paul est devenu un prêtre d'Isis...) Et après Césarion, le couple superstar de l'Antiquité a eu des jumeaux (inspirés de ceux d'Antoine et Cléo), qui règnent sur l'Egypte ensemble à la mort de leur mère. Le roman étant l'autobiographie de Sélénéis, reine d'Egypte, haute prêtresse d'Isis, je sais déjà que je pleurerai avec elle des larmes de sang lorsque son frère-époux, Horus Vivant, Héliander Horus, sera tué au combat par les Romains ayant succédé à leur propre père, et qu'elle devra fuir jusqu'aux sources du Nil, consacrant les dernières années de son existence à l'extension du culte d'Isis.
Bon, j'en ai pour 20 ans à écrire tout ça, avec mon rythme de tortue coincée dans la mélasse, mais enfin... POUVOIR DE L'AMOUR, TRANSFORME-MOI... en écrivain rapide !!!
*petite musique, jupette et coiffure à couettes* (...) *écrit toujours à 2 cm/heure*
Ah ben zut ça marche pas... Il est pourri ce sceptre lunaire !!!
J'y retourne....
AXO
