l'amateurisme des candidats écrivains m'a frappée à une conférence sur la publication du premier roman. La majorité n'ont été relus par personne ou par quelques proches et s'imaginent déjà avoir un manuscrit parfait.
Oui, cela ressort beaucoup des témoignages des lecteurs/éditeurs des Maisons. Le côté "pro" ("sobre" comme tu le dis plus bas) de la soumission, glisser qu'on est habitué aux re-lectures critiques et/ou qu'on est prêt à revoir sa copie peut aider à montrer qu'on n'est pas de ces auteurs-là.
lMême sans être passé par les cycles, nous ici avons un peu plus le sens des réalités. Les 5 papyrus judicieusement choisis permettent de déjà bien améliorer ses écrits si on en reporte les enseignements sur l'ensemble de son texte.
Je suis tout à fait d'accord. Plein de grenouilles n'ont pas besoin de passer en cycle pour apprendre à écrire et produire des romans travaillés. Et cela se voit là où c'est le plus important : par le texte même (et là, en tant que simple lectrice, je rejoins les éditeurs : c'est la forme et le fond des 10/20 premières pages qui vont me décider à lire ou non un livre).
En cours : Bob le Blob et les Poubelles
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