Re: Faire parler les enfants
Posté : dim. juin 24, 2018 10:39 pm
Ce sujet est une vraie mine d'information. Merci à tous pour l'avoir écrit et à Crazy pour son magnifique index qui m'a permis de le retrouver bien vite !
J'ai un enfant de cinq ou six ans dans mon histoire (qui s'est incrustré, pas du tout prévu).
Il a une enfance bizarre dans un monde un peu post-apo. Je pense que je vais en faire un muet quand il est en présence du "méchant"... (surprise... pour toutes les premières scènes, il est en présence du méchant !) Mais qui s'étonne de beaucoup de choses et qu'il perçoit ce que les autres aimerait cacher.
De par mes expériences, je connais beaucoup plus les enfants au dela de 10 ans : j'ai fait beaucoup de colo où je suis animatrice.
Il est à noter, et je pense que tout le monde le sait, que les enfants, surtout au delà de 10 ans, (avant surement aussi, mais je ne peux pas l'assurer) ont un comportement totalement différent quand ils sont en groupe.
J'avais entendu dire que le QI général d'un groupe est inversement proportionnel au nombre de participant, et mes expériences tendent à prouver que c'est vrai.
Prenez cinq enfant qui sont des anges seul, mettez les ensemble et ils vont se monter entre eux, et foutre le bazar.
Maintenant, prenez-en vingt, ou cinquante, et cela va facilement devenir invivable. (du point de vue de l'adulte responsable)
Mais je dévie trop du sujet pour partir en disgression là-dessus.
Cela me fait penser à autre chose. Pour rebondir sur ce que disait les premiers post, il peut-être très dur de faire parler un enfant (ou un grand-parent). Car parler de la journée qu'on a vécu, ou de la sortie qu'on a faite le week-end dernier demande un recul et de ne plus être dans l'immédiateté, ni dans le passé trop ancien. Il faut comprendre la notion de passé récent, que je ne suis pas sure qui soit facile à avoir un jeune enfant.
Par contre, il faut aussi composer avec le fait qu'un enfant répète très facilement ce qu'il a entendu sans forcément l'avoir bien compris.
Je suis pas vraiment plus avancée pour mon Yggdrasil, mais ça s'éclaire, et j'ai appris des choses passionnantes.
J'ai un enfant de cinq ou six ans dans mon histoire (qui s'est incrustré, pas du tout prévu).
Il a une enfance bizarre dans un monde un peu post-apo. Je pense que je vais en faire un muet quand il est en présence du "méchant"... (surprise... pour toutes les premières scènes, il est en présence du méchant !) Mais qui s'étonne de beaucoup de choses et qu'il perçoit ce que les autres aimerait cacher.
De par mes expériences, je connais beaucoup plus les enfants au dela de 10 ans : j'ai fait beaucoup de colo où je suis animatrice.
Il est à noter, et je pense que tout le monde le sait, que les enfants, surtout au delà de 10 ans, (avant surement aussi, mais je ne peux pas l'assurer) ont un comportement totalement différent quand ils sont en groupe.
J'avais entendu dire que le QI général d'un groupe est inversement proportionnel au nombre de participant, et mes expériences tendent à prouver que c'est vrai.
Prenez cinq enfant qui sont des anges seul, mettez les ensemble et ils vont se monter entre eux, et foutre le bazar.
Maintenant, prenez-en vingt, ou cinquante, et cela va facilement devenir invivable. (du point de vue de l'adulte responsable)
Mais je dévie trop du sujet pour partir en disgression là-dessus.
Cela me fait penser à autre chose. Pour rebondir sur ce que disait les premiers post, il peut-être très dur de faire parler un enfant (ou un grand-parent). Car parler de la journée qu'on a vécu, ou de la sortie qu'on a faite le week-end dernier demande un recul et de ne plus être dans l'immédiateté, ni dans le passé trop ancien. Il faut comprendre la notion de passé récent, que je ne suis pas sure qui soit facile à avoir un jeune enfant.
Par contre, il faut aussi composer avec le fait qu'un enfant répète très facilement ce qu'il a entendu sans forcément l'avoir bien compris.
Je suis pas vraiment plus avancée pour mon Yggdrasil, mais ça s'éclaire, et j'ai appris des choses passionnantes.