Bon,
Alors moi, je viens un peu en retard pour ajouter mon avis... (qui bien sûr n'engage que moi...)
Sur les idées :
Perso, des idées, j'en ai. Tout mon problème, c'est de les exprimer, et c'est pour ça que je viens barbotter ici.
En principe, je ne "chasse" pas l'idée. Je la "pêche" au filet. Lorsque j'ai un thème (ou un sujet d'AT), je laisse dériver mes filets. Tout y entre : la vie quotidienne, la télé, les lectures, quelques recherches... Et je fais le tri à la fin : je garde toutes les pièces qui collent avec mon puzzle, et je laisse les autres. Bref, plus un processus passif qu'actif.
J'ai lu avec beaucoup d'attention les conseils de Beorn, un peu stupéfaite qu'on puisse essayer de mettre des mots sur quelque chose d'aussi intengible que la chasse aux idées. Peut-être que je fais un peu ce qu'il dit sans m'en rendre compte. Mais pour le moment, ma méthode me suffit.
Et je dois être une obtuse têtue d'âne battée, mais il se trouve que je préfère développer mes idées que celles proposée par les autres, même si ce sont des idée géniallissimes. (Et tant pis si je ne suis jamais publiée
) Par exemple, j'ai fais suer tout le monde à réfléchir sur "comment tuer une vieille dame". Il y eu de très bonnes idées, mais qui ne rentraient pas bien dans mon puzzle. Tant pis... je vais garder ma première idée pourrie. Elle me parait sans doute plus confortable, parce que c'est la mienne.
Avec, je verrais avec les bêta-lectures si j'ai réussit à la rendre crédible.
Sur le fait de réfléchir ensemble sur des concepts :
Certains le font. Par exemple, le post sur "La Théorie des cordes". Mais sur certains sujets, je préfère réfléchir "pour de vrai" avec les gens que je cotoie plutôt qu'en préparation d'un texte.
Exemple : Comment fait-on pour faire un mauvais choix ? (sujet abord? dans une de mes réponses à AT) La réflexion sera différente si on en discute avec des gens qui ont vécu ce problème qu'avec des auteurs qui soupèseront la notion d'un oeil froid d'analyste pour savoir si c'est une bonne idée.
Quant aux bêtas :
Pour l'instant, ma politique est : je donne un max de remarques en vracs, l'auteur fera le tri.
Mais il est vrai que je travaille plus sur la plage, où c'est normal : le texte est censé être fini, on peut donc se lécher sur tous les points, de forme et de fond...
Mais même en se lachant à fond, je n'imagine pas arriver à un stade où je dirais à l'auteur "Ton idée est pas bonne".
Bon... à la relecture, j'ai l'impression d'avoir répété ce qu'on dit les autres. Tant pis...