Curiosité
- Thierry Marc
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Curiosité
Par obligeance envers la conjoncture, je vous souhaite de nager entre fêtes et confinement puisque la batraciennité est de rigueur dans ce lieu.
Je passe par ici par curiosité et par nécessité bien entendu.
Vieux poète, vieux nouvelliste, jeune romancier... tout est relatif. Nous sommes toujours les jeunes de quelqu'un.
Alors une présentation sommaire :
J'ai écrit pour la scène des tas de trucs plus ou moins comestible, mijotés par quelques camarades artistes pour des gastronomes aussi rares que curieux... et de la poésie pour des danseurs et des livres. Mais tout ça, en chuchotant dans des lieux étranges, des grottes, des hangars, des petites maisons d'édition.
Donc j'ai une certaine expérience dans l'art d'écrire des phrases et bien sûr si l'on peut toujours plier et replier l'acier pour que la lame soit forte, je commence à savoir faire ça. Alors que cherché-je ?
Depuis quelques années j'ai osé. Las de marcher à petits pas, j'ai usé des grandes bottes du roman et suis entré dans la transe, la danse cosmique. L'expérience a été aussi fantastique qu'un voyage sidéral. Partager les émotions, les épreuves, les étonnement des personnages est une aventure que je souhaite à tous. Lorsque le point final arrive, le chagrin nous attrape étrangement. Une sorte de deuil. Notez que je passe au "nous", pas par majesté mais par une sorte de pudeur coupable. Tout chargé de deuil, nous envoyons nos manuscrits momifiés à des éditeurs pour qu'ils fassent leur travail, faire passer le texte, le donner à lire, le rendre vivant une nouvelle fois et... à notre grand étonnement il n'y a pas de réponse ou lorsqu'il y en a, elles sont vides, communes. Nous qui nous croyions singulier, porteur d'un univers distrayant et profond, nous voici brutalement frappé au coin de notre prétention. Nous doutons... aie, aie, aie... se pourrait il que nos histoires soient fades et sans âme ? Que nos personnages soient creux ! Nos couchers de soleil sur Gorve complétement banals ! Nos métaphores usées comme des vieux élastiques !
C'est un peu cela que je cherche, rompre la solitude de l'auteur de fond.
En détails
- quelques nouvelles
- Trois romans. Fantasy, space opéra, science fiction (plus ou moins uchronique)
Je passe par ici par curiosité et par nécessité bien entendu.
Vieux poète, vieux nouvelliste, jeune romancier... tout est relatif. Nous sommes toujours les jeunes de quelqu'un.
Alors une présentation sommaire :
J'ai écrit pour la scène des tas de trucs plus ou moins comestible, mijotés par quelques camarades artistes pour des gastronomes aussi rares que curieux... et de la poésie pour des danseurs et des livres. Mais tout ça, en chuchotant dans des lieux étranges, des grottes, des hangars, des petites maisons d'édition.
Donc j'ai une certaine expérience dans l'art d'écrire des phrases et bien sûr si l'on peut toujours plier et replier l'acier pour que la lame soit forte, je commence à savoir faire ça. Alors que cherché-je ?
Depuis quelques années j'ai osé. Las de marcher à petits pas, j'ai usé des grandes bottes du roman et suis entré dans la transe, la danse cosmique. L'expérience a été aussi fantastique qu'un voyage sidéral. Partager les émotions, les épreuves, les étonnement des personnages est une aventure que je souhaite à tous. Lorsque le point final arrive, le chagrin nous attrape étrangement. Une sorte de deuil. Notez que je passe au "nous", pas par majesté mais par une sorte de pudeur coupable. Tout chargé de deuil, nous envoyons nos manuscrits momifiés à des éditeurs pour qu'ils fassent leur travail, faire passer le texte, le donner à lire, le rendre vivant une nouvelle fois et... à notre grand étonnement il n'y a pas de réponse ou lorsqu'il y en a, elles sont vides, communes. Nous qui nous croyions singulier, porteur d'un univers distrayant et profond, nous voici brutalement frappé au coin de notre prétention. Nous doutons... aie, aie, aie... se pourrait il que nos histoires soient fades et sans âme ? Que nos personnages soient creux ! Nos couchers de soleil sur Gorve complétement banals ! Nos métaphores usées comme des vieux élastiques !
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Re: Curiosité
Je pense que tu te trouves au bon endroit, Thierry Marc, pour rompre la solitude de l'auteur, alors bienvenue à toi sur la mare
L'intérêt d'un forum tel que Cocy est de justement se soutenir les uns les autres dans de tels moments et aussi de sortir le
quand l'une des grenouilles accède à la publication
Si tu souhaites accéder à la bêta-lecture de nouvelles sur le forum, il est nécessaire de solliciter un permanent (grenouille orange) par mp pour accéder au Port, le sous-forum des nouvelles (et ainsi devenir bleu ciel, couleur des grenouilles nouvellistes)

Je crois que nous avons tous ou presque connu ce sentiment, iciThierry Marc a écrit :Tout chargé de deuil, nous envoyons nos manuscrits momifiés à des éditeurs pour qu'ils fassent leur travail, faire passer le texte, le donner à lire, le rendre vivant une nouvelle fois et... à notre grand étonnement il n'y a pas de réponse ou lorsqu'il y en a, elles sont vides, communes. Nous qui nous croyions singulier, porteur d'un univers distrayant et profond, nous voici brutalement frappé au coin de notre prétention. Nous doutons... aie, aie, aie... se pourrait il que nos histoires soient fades et sans âme ? Que nos personnages soient creux ! Nos couchers de soleil sur Gorve complétement banals ! Nos métaphores usées comme des vieux élastiques !

L'intérêt d'un forum tel que Cocy est de justement se soutenir les uns les autres dans de tels moments et aussi de sortir le


Félicitations- quelques nouvelles
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La trilogie Havensele est parue chez Rroyzz éditions
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Nouvelliste chez Etherval

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Re: Curiosité
Bonjour et bienvenue Thierry Marc !

Bonne découverte de la mare !

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Re: Curiosité
Bienvenue à Thierry Marc ! 

Bêta-lectures bienvenues: La sécheresse des hommes d'Uriel
Archives d'extraits d'histoires, d'articles et d'illustrations: www.axeldalibertlegris.fr
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Re: Curiosité
Que vois-je ? Une appétissante nouvelle grenouille arpente nos eaux !
Je suis très heureuse de t'accueillir dans notre belle mare
!
Ah, tu verras, barboter ici est un plaisir… mais il peut être facile de s’égarer au milieu de ces nénuphars chatoyants, surtout au début !
Alors, si tu as du mal à t’y retrouver, que tu as des questions ou besoin d’un coup de palme, voici ce que tu peux faire :

Je suis très heureuse de t'accueillir dans notre belle mare

Ah, tu verras, barboter ici est un plaisir… mais il peut être facile de s’égarer au milieu de ces nénuphars chatoyants, surtout au début !
Alors, si tu as du mal à t’y retrouver, que tu as des questions ou besoin d’un coup de palme, voici ce que tu peux faire :
- Consulter la FAQ du forum qui t’aidera à mieux comprendre son fonctionnement.
- Tu verras que la plupart des sections ont épinglé en entête un sujet « à quoi sert cette section ? À lire avant de poster. » Ces fils te donneront toutes les clés pour participer et créer tes propres sujets.
- Et bien sûr, au moindre souci, tu peux contacter par message privé mes fidèles serviteurs, les modérateurs de la mare, dont les pseudos sont de couleur fuchsia. Ils te répondront et t’aideront avec plaisir !
* La modération est un plat qui se mange froid. *
- Thierry Marc
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Re: Curiosité
Merci pour vos salutations.
Je vais essayer de m'y retrouver... effectivement c'est touffu.
Un de mes amis de papier dit à chaque fois qu'il peut " quand on est c.. on des chances de s'améliorer pas le contraire !" Bon, j'ai mes chances.
Sinon, autant je bricole sur le net comme tout le monde autant je ne suis pas utilisateur des forums donc je n'ai pas utilisé de pseudo. Je suis sans combinaison spatiale ou déguisement holographique. Je comprends l'utilisation des pseudos généralement mais pas ici ou justement on doit pouvoir confier une partie de notre intimité artistique, la prose sans maquillage... pourquoi des pseudos ?
Je vais essayer de m'y retrouver... effectivement c'est touffu.
Un de mes amis de papier dit à chaque fois qu'il peut " quand on est c.. on des chances de s'améliorer pas le contraire !" Bon, j'ai mes chances.
Sinon, autant je bricole sur le net comme tout le monde autant je ne suis pas utilisateur des forums donc je n'ai pas utilisé de pseudo. Je suis sans combinaison spatiale ou déguisement holographique. Je comprends l'utilisation des pseudos généralement mais pas ici ou justement on doit pouvoir confier une partie de notre intimité artistique, la prose sans maquillage... pourquoi des pseudos ?
- Macada
- Va embrasser le prince grenouille
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Re: Curiosité
Bienvenue dans la Mare, à toi et tes projets, Thierry Marc !
Il y a plusieurs fils à ce sujet dans la Mare (mais j'ai la flemme d'aller fouiller) parce que le choix du nom d'auteur est un sujet qui touche beaucoup d'entre nous.
Allez, je ne résiste pas à te donner mon point de vue sur les pseudos et autres noms :
Outre le fait que nous sommes sur le Net, et donc un espace ouvert aux vents de toutes les indiscrétions, l'humain n'est-il pas, au bout du compte, virtuellement ou non, une succession de personae ? A chacun de ses(ces) rôles sociaux, pourquoi pas un nom qui lui serait propre ?
Et, en fait, pour un certain nombre de grenouilles, c'est bien ce qu'il se passe : elles nomment à leur convenance leur identité numérique et, tout naturellement, continue de l'endosser quand elles plongent dans la Mare. Quand se pose la question du nom d'auteur, certaines vont choisir leur nom de naissance, d'autres vont se construire une identité spécifique, d'autres encore choisissent l'identité sous laquelle elles se sont senties devenir auteur (leur pseudo dans la Mare, par exemple.
).
Je pense que tu as raison, la notion d'intimité - que veut-on dévoiler ou pas dans la facette de soi mise en avant ? Et à qui ? - entre dans nos choix de noms. Mais n'en avoir qu'un seul - comme ça semble être ton choix - n'est qu'une possibilité, et elle n'est pas forcément perçue comme plus "sincère" qu'une autre (est-on plus sincère quand on est "enfant", "parent", "ami(e)", "collègue", "amant(e)", "artiste", etc ), ni même, forcément, en terme de sincérité.
Pense par exemple aux écrivains qui publient sous plusieurs noms selon le genre de leurs textes (Boris Vian/Vernon Sullivan, Romain Gary/Emile Ajar, Gudule/Anne Duguel,...), ils ne sont pas moins eux-même dans une persona ou une autre, ils désirent juste ne pas embrouiller leurs lectorats.

Je plussoie.Kushiel a écrit : ↑mer. déc. 30, 2020 9:23 amJe crois que nous avons tous ou presque connu ce sentiment, iciThierry Marc a écrit :Tout chargé de deuil, nous envoyons nos manuscrits momifiés à des éditeurs pour qu'ils fassent leur travail, faire passer le texte, le donner à lire, le rendre vivant une nouvelle fois et... à notre grand étonnement il n'y a pas de réponse ou lorsqu'il y en a, elles sont vides, communes. Nous qui nous croyions singulier, porteur d'un univers distrayant et profond, nous voici brutalement frappé au coin de notre prétention. Nous doutons... aie, aie, aie... se pourrait il que nos histoires soient fades et sans âme ? Que nos personnages soient creux ! Nos couchers de soleil sur Gorve complétement banals ! Nos métaphores usées comme des vieux élastiques !![]()

En voilà une question qu'elle est bonne !Thierry Marc a écrit : ↑jeu. déc. 31, 2020 7:41 amJe comprends l'utilisation des pseudos généralement mais pas ici ou justement on doit pouvoir confier une partie de notre intimité artistique, la prose sans maquillage... pourquoi des pseudos ?

Il y a plusieurs fils à ce sujet dans la Mare (mais j'ai la flemme d'aller fouiller) parce que le choix du nom d'auteur est un sujet qui touche beaucoup d'entre nous.
Allez, je ne résiste pas à te donner mon point de vue sur les pseudos et autres noms :
Outre le fait que nous sommes sur le Net, et donc un espace ouvert aux vents de toutes les indiscrétions, l'humain n'est-il pas, au bout du compte, virtuellement ou non, une succession de personae ? A chacun de ses(ces) rôles sociaux, pourquoi pas un nom qui lui serait propre ?
Et, en fait, pour un certain nombre de grenouilles, c'est bien ce qu'il se passe : elles nomment à leur convenance leur identité numérique et, tout naturellement, continue de l'endosser quand elles plongent dans la Mare. Quand se pose la question du nom d'auteur, certaines vont choisir leur nom de naissance, d'autres vont se construire une identité spécifique, d'autres encore choisissent l'identité sous laquelle elles se sont senties devenir auteur (leur pseudo dans la Mare, par exemple.

Je pense que tu as raison, la notion d'intimité - que veut-on dévoiler ou pas dans la facette de soi mise en avant ? Et à qui ? - entre dans nos choix de noms. Mais n'en avoir qu'un seul - comme ça semble être ton choix - n'est qu'une possibilité, et elle n'est pas forcément perçue comme plus "sincère" qu'une autre (est-on plus sincère quand on est "enfant", "parent", "ami(e)", "collègue", "amant(e)", "artiste", etc ), ni même, forcément, en terme de sincérité.
Pense par exemple aux écrivains qui publient sous plusieurs noms selon le genre de leurs textes (Boris Vian/Vernon Sullivan, Romain Gary/Emile Ajar, Gudule/Anne Duguel,...), ils ne sont pas moins eux-même dans une persona ou une autre, ils désirent juste ne pas embrouiller leurs lectorats.
Challenge : Sous l'aile du corbeau
Parutions 2019-2020 :
Entre troll et ogre en poche !
Rose-thé et gris-souris
Le Loupiot de la Maison des Vosges
La forêt des Gardiens
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- Thierry Marc
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Re: Curiosité
Tu as complétement raison sur les personnae, ça renvoie aussi à la position du narrateur dans le récit, le vertige du "il" et celui du "je" comme Perec et son roman sans E, sans "eux" qui marque sa façon ( proprement géniale) de marquer son deuil.
Je prends le risque d'utiliser le nom que mon histoire personnelle m'a donné, le prénom de Thierry la fronde qui fascina ma mère. Pas grand risque en fait, un nom si commun. On peut être fasciné aussi par les noms et prénoms de nos personnages, de quelles foules viennent-ils ? De quelle peuple ? Je n'avais jamais pensé à utiliser un pseudo (j'ai œuvré essentiellement pour des amis. Si mes textes ont été portés sur des scènes c'est parce qu'ils répondaient à une demande quasi collective le nom de l'auteur était secondaire) d'ailleurs "l'auteur" est-il le sujet de la littérature, n'est ce pas le texte lui même ? C'est une question intéressante que tu soulèves. Mais nous sommes habitués à franchir les membranes qui séparent les mondes, c'est un bon sujet de roman.
Je suis étonné par cette expérience où des "inconnus" nous parlent si promptement de ce mirage qui nous anime, tenir en vie les âmes grises qui habitent nos livres.
T.M
Je prends le risque d'utiliser le nom que mon histoire personnelle m'a donné, le prénom de Thierry la fronde qui fascina ma mère. Pas grand risque en fait, un nom si commun. On peut être fasciné aussi par les noms et prénoms de nos personnages, de quelles foules viennent-ils ? De quelle peuple ? Je n'avais jamais pensé à utiliser un pseudo (j'ai œuvré essentiellement pour des amis. Si mes textes ont été portés sur des scènes c'est parce qu'ils répondaient à une demande quasi collective le nom de l'auteur était secondaire) d'ailleurs "l'auteur" est-il le sujet de la littérature, n'est ce pas le texte lui même ? C'est une question intéressante que tu soulèves. Mais nous sommes habitués à franchir les membranes qui séparent les mondes, c'est un bon sujet de roman.
Je suis étonné par cette expérience où des "inconnus" nous parlent si promptement de ce mirage qui nous anime, tenir en vie les âmes grises qui habitent nos livres.
T.M
Re: Curiosité
Bienvenue Thierry Marc.
J'espère que tu trouveras ici les interlocuteurs pour partager expérience et plaisir de lecture et d'écriture.
Dans l'attente d'une rencontre autour des mots
.
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Dans l'attente d'une rencontre autour des mots

« L’authentique conservateur est celui qui sait que le monde n’est pas un héritage de ses parents, mais un prêt de ses enfants. » J. J. Audubon
- mltl
- Adepte du papier et de la plume
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- Inscription : dim. déc. 11, 2016 2:35 pm
- Rang special : Tout feu tout flamme
Re: Curiosité
Bienvenue à toi Thierry Marc !
Oula cette présentation va rentrer dans un sujet philosophique sur notre représentation du soi sur internet ? (je sors -> [])
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“It's a dangerous business, Frodo, going out your door. You step onto the road, and if you don't keep your feet, there's no knowing where you might be swept off to.”
- Nankin
- Maître Nankin agite une lanterne en forme de renard pour attirer le gentil fromage
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- Inscription : mer. juin 29, 2011 2:50 pm
- Rang special : Neurone exquis
- Localisation : Quelque part dans les entrailles de Poudmare.
Re: Curiosité
Bienvenue Thierry ! 
Jolie prose rien que pour le fil de présentation
La question du "pourquoi des pseudos" mériterait presque un sujet à part entière. Il y a autant de réponses que de personnes au final

Jolie prose rien que pour le fil de présentation

La question du "pourquoi des pseudos" mériterait presque un sujet à part entière. Il y a autant de réponses que de personnes au final
Sous-fifre de 

- Ermina
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Re: Curiosité
Bienvenue dans la mare ! 

*Cycliste* chocolatvore
Les Nomades du Temps ● mon OLT
2764 ab urbe condita ● en phrase IV
Les morts d'Odérisse ● le papyrus

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Re: Curiosité
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Par ici pour l'école d'écriture en ligne spécialisée confiance en soi & premier roman!
Eclipse : En challenge !
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